Notre filiale de Dijon, La Bourgogne, a organisé il y a quelques semaines un événement incontournable pour les amateurs de bonnes bouteilles : le salon des vins & spiritueux. Un événement exceptionnel qui a réuni des professionnels de l’Hôtellerie, de la Restauration, et des Cafés (CHR), ainsi que des fournisseurs de renom.
Situé au cœur de la région viticole emblématique de Dijon, le salon des vins & spiritueux était l’occasion de faire découvrir à nos clients du CHR des vins d’exception autour de la thématique du Pinot Noir et du Chardonnay. Mais aussi des spiritueux raffinés, et de nombreux échanges avec des professionnels passionnés.
Nos fournisseurs partenaires ont présenté à nos clients CHR, des vins aux arômes envoûtants, des spiritueux élaborés aux notes distinctives. Les participants ont eu l’opportunité de déguster, mais aussi de découvrir les histoires et le savoir-faire qui se cachent derrière chaque bouteille.
Nous préparons avec impatience les futures éditions de ce salon, pour continuer à créer des expériences uniques et inoubliables pour tous nos clients du CHR.
Aujourd’hui c’est Yvan, Chef des ventes chez notre filiale de Verdun, Tronche, qui s’est prêté au jeu de l’interview pour nous parler de son parcours dans le groupe !
Bonjour Yvan, peux-tu te présenter ?
Bonjour, j’ai 48 ans et cela fait 27 ans que je travaille dans le milieu du CHR.
J’ai commencé ma carrière :
Préparateur de commande chez « PERCEVAL » à Verdun (grossiste en bonbons et boissons)
En sortant de l’armée reprise d’un café à Consenvoye
Intégration de la filiale Tronche en 2007.
Comment as-tu connu Laurent ?
En octobre 1996, en tant que fournisseur lors de l’ouverture le 21/12/1996 de mon café « AUX 2 BOUCHONS »
En 2007, Laurent recherchait un livreur et moi je souhaitais vendre mon commerce. J’ai intégré la filiale Tronche en mars 2007 comme Chauffeur Livreur.
En 2009, au vu de l’évolution de l’entreprise, Laurent m’a proposé de passer 50% de mon temps comme commercial.
Comment as-tu vécu cette évolution de poste ?
Les premiers rendez-vous ont été challengeants. Avec les encouragements de Laurent et beaucoup de persévérance j’ai réussi à prendre plaisir dans ce domaine.
En 2016, lorsque Laurent a intégré le groupe Soredis, il m’a proposé de modifier mon contrat de travail et passer à 100% commercial.
Depuis avril 2023 je suis passé Chef des ventes avec 2 commerciales sous ma coupe.
Comment imagines-tu ton futur dans la société ?
Pouvoir continuer à évoluer dans l’entreprise, grâce aux nombreuses formations qui me sont proposées et au tutorial de Laurent.
Les beaux jours sont arrivés ! Et pour l’occasion nous vous proposons de découvrir nos toutes dernières promotions dans votre CHD du mois de juin 2023 en cliquant juste ici.
Aujourd’hui c’est Fabrice, Responsable de clientèle chez notre filiale de Reims qui s’est prêté au jeu de l’interview pour nous parler de son parcours et de sa passion !
Bonjour Fabrice, peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Fabrice et j’attaque ma 21ème année au sein du groupe Soredis.
J’ai un parcours atypique, je suis un ancien de la restauration, je suis né là-dedans ! J’ai connu un petit peu toutes les typologies d’établissements : de la pizzeria aux restaurants étoilés. J’ai fait ma carrière dans ce milieu pendant un bon moment et assez jeune je me suis lancé à mon compte dans un resto de spécialités Antillaises. Pourquoi antillaise ? Et bien le hasard de la vie a voulu que je reprenne ce type de restauration que j’ai gardé et ainsi tenu pendant 11 années.
Comment es-tu arrivé chez Soredis ?
Au bout de 11 ans, j’ai décidé de réorienter ma carrière. Après avoir vendu mon restaurant, j’ai voulu en reprendre un autre mais ma femme m’a dit : “si tu fais ça, on divorce” (rires). J’ai finalement préféré changer de métier parce que je tenais à ma femme !
Entre temps, j’ai vendu de la viande en tant que commercial pour les Salaisons Champenoises à Châlons en Champagne sur le secteur de Reims. C’est à ce moment-là que j’ai rencontré un Commercial de la SORCO à l’époque qui m’a demandé si ça ne m’intéresserait pas d’intégrer Soredis. Je me suis dit pourquoi pas. J’y suis donc resté en voyant toutes les évolutions de la société depuis toutes ces années. Nous étions encore avec notre stylo et papier quand je vois maintenant comment le digital a transformé notre métier.
Après toutes ces années chez Soredis, quels sont tes projets ?
J’arrive en fin de carrière, logiquement il doit me rester une petite année à travailler.. Aussi, j’ai pu réactiver une de mes passions de toujours : le chant ! J’ai pu réintégrer pour commencer une chorale où j’étais simple choriste, on m’a ensuite demandé de la prendre en charge et ça fait maintenant 18 ans que je m’en occupe. C’est une chorale de variété, elle est composée de gens de 20 à 80 ans. Le répertoire est très varié, ça va des années 50 à nos jours. On fait un petit peu de caritatif également. On se produit dans des maisons de retraite pour faire passer un bon moment aux gens et on fait des concerts caritatifs parfois.
Au fil du temps, j’ai intégré une chorale gospel il y a 15 ans maintenant.
Et parallèlement à tout ça comme j’avais encore un peu de temps libre, j’ai formé mon propre groupe qui s’appelle “couleur chanson”. Avec un pianiste le plus souvent, je fais des pianos voix dans des restaurants, pour des fêtes patronales, pour des événements vraiment très variés.
Voilà ça fait déjà pas mal !
Est-ce que cette passion est en lien avec ton métier ?
J’ai un producteur dans les Ardennes qui me trouve des dates sur le secteur ardennais. Pour le reste de la région, c’est moi qui trouve la plupart des dates grâce au réseau que j’ai pu me faire au fil du temps. Notamment grâce à mon métier chez Soredis. Aujourd’hui je fréquente beaucoup de restaurateurs et de cafetiers la plupart sont devenus des amis qui m’appellent pour venir chanter dans leur établissement.
Tu parlais précédemment de caritatif, peux-tu nous en dire plus ?
Oui, j’ai la chance d’avoir un petit peu de temps pour faire du caritatif. On fait des concerts pour des associations. J’en ai fait un récemment pour le Burkina Faso. Les fonds récoltés servent à financer la construction d’une école : on donne du plaisir aux gens en chantant tout en permettant la construction d’une école.
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