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Notre histoire

2018

Soredis ajoute le vert à son logo et s’inscrit dans une logique de développement durable

Soredis s’engage sur :

 

  • La connaissance et le respect de la règlementation applicable
  • La bonne gouvernance de l’entreprise en formalisant l’engagement éco-responsable
  • La promotion d’une consommation responsable et d’achats responsables
  • L’utilisation durable des ressources (consommables, eau, électricité, déchets)
  • Une organisation centrée autour du client :
    • Notamment, la mise en place d’une offre de reprise des emballages en verre à usage unique
  • Le soutien des liens sociaux : l’implication et la valorisation des collaborateurs
  • L’engagement pour le climat via l’optimisation des émissions de Gaz à Effet de Serre
Soredis FNB

2011

Le Groupe familial Soredis retrouvé

Le rachat de Soredis par François Guy et ses directeurs

 

En 2010, le groupe Carlsberg décide de revendre la totalité de sa distribution en France.

François Guy commence la négociation avec Kronenbourg et après plusieurs mois, la société Hadès est créée et achète la totalité du Groupe Soredis le 23 mai 2011.

Au tour de table : les directeurs des sites et le frère de François Benjamin Guy

 

Le travail peut commencer, l’histoire continue !

1996-2011

Sorco au sein des grands Groupes

1996 – 2000, Sorco est rachetée par le Groupe Danone. Cette période correspond au moment où François Coyon et Jean-Pierre Guy commencent à penser à leur succession, l’âge de la retraite approchant. À cette époque, 80% de la distribution va passer entre les mains des grands brasseurs. Malgré cela, la famille Guy garde la direction de l’entreprise.

 

2000-2008, Scottish & Newcastle. En 2000, le Groupe Danone décide de revendre ses activités de brasserie qui détonnent au sein de sa gamme de produits lactés. Le Groupe Kronenbourg et les quelques distributeurs de boissons restés indépendants que Danone possède, dont Sorco, sont cédés à un grand brasseur britannique : Scottish & Newcastle.

 

2008-2011, Carlsberg. En 2008, Scottish & Newcastle est à son tour rachetée par le consortium Carlsberg-Heineken qui se partage le Groupe en fonction des positions géographiques. Carlsberg reprend les activités France de Scottish & Newcastle, et c’est ainsi qu’en 2009, Sorco passe sous la coupe de Carlsberg.

 

 

1996-2011 Sorco au sein des grands Groupes

1981-1996

Soredis + SA Coyon = Sorco

Les routes de François Coyon et de Jean-Pierre Guy finissent fatalement par se croiser au fur et à mesure de l’extension du périmètre de leurs activités, l’un vers Reims, l’autre vers Châlons. François Coyon : « On se dit qu’on est ridicule, qu’un jour ou l’autre, on va vouloir se développer chacun, toi tu vas venir à Châlons, moi je vais venir à Reims… Et puis un jour on se met autour de la table avec nos conseillers juridiques et financiers et en 1981 on s’associe. »

 

 

 

Après ses études et une période en tant que volontaire de la sécurité nationale (VSN) au Canada, François Guy revient quant à lui chez Sorco en 1996, au moment où l’entreprise est vendue à Danone.

1963-1981

Famille Guy à Reims et famille Coyon à Châlons s/Marne

En 1965, le commerce de M. Roger Guy devient une société anonyme, la SA Roger Guy, avec à ses côtés, la SA Roger Guy Distribution. Dirigeant de Soredis jusqu’en 1981, puis co-dirigeant du Groupe Sorco  jusqu’en 2010, Jean-Pierre Guy s’est aussi toujours investi dans l’activité consulaire : il est juge au Tribunal de Commerce de Reims depuis trente ans, et en est le vice-président en 2015.

 

Vers la fin des années 1970, poursuivant sa croissance interne et externe, Jean-Pierre Guy en vient à étendre son activité vers la ville de Châlons-en-Champagne. Il marche alors sur les terres d’une sérieuse concurrente : la SA Coyon. Son dirigeant François Coyon jusqu’en 1981 deviendra co-dirigeant avec Jean-Pierre Guy du Groupe Sorco, jusqu’en 2010.

1925-1963

À l’origine, Roger Guy crée son entreprise

Début 1922, après sa démobilisation, Roger Guy  devient petit représentant en vin dans la même entreprise que son père. À la naissance de sa première fille, Roger Guy décide de prospecter les entreprises locales pour en trouver une à son goût à Jonchery-sur-Vesles. La maison facile d’accès pour la réception et l’expédition de marchandises parce que proche des voies ferrées devient le premier établissement Roger Guy.

Pour son acquisition, il bénéficiera de la garantie de Mme Mimin, patronne de commerce.

Dans les années 1950, Roger Guy développe son entreprise de négoce en vins à destination des cafés, restaurants et petits commerces. A cette époque, trois maisons se partagent le marché; elles feront faillite en même temps que la maison Roger Guy devient plus importantes.

Pendant les Trente Glorieuses, la maison Guy conforte son assise commerciale en proposant des mélanges bon marché et un produit phare de Côtes-du-Rhône nommé « la Goulardière » tous deux conditionnés à Reims.

 

 

 

 

 

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